Fleur de nénuphar
Posée sur un drap vert.
Ses pétales roses
Renferment un coeur en or.
Le Newscript de Bertrand
Fleur de nénuphar
Posée sur un drap vert.
Ses pétales roses
Renferment un coeur en or.
Beauté d'un bouquet
D'une blanche pureté.
Merveille florale.
"Dire la vérité est un art qu'il faut savoir maîtriser."
Trois bras d’eau
Sous un pont.
Coule la rivière.
Fruits du cerisier
Sur une branche, s'agrippent
Pour ne pas tomber
Ma participation au Jeudi Nature-Détente du 07 Juin de la Dame Mauve :
Sur un chemin de campagne,
Au loin une ferme.
Peu à peu elle s’éloigne,
Quand mes yeux se referment
Sur la colline, en terre de culture.
Rouges pétales de rose ;
Sur sa tige, sa tête repose,
Recouverte de perles de cristal.
Au rythme des vagues,
Je prends le large,
Dans une mer bleue.
Paradis marin.
Fleurs en arc-en-ciel.
Epanouissement en couleur.
La Nature est en fête.
L’oie, le coq et le renard
Dans la campagne, un vieux fermier,
N’avait que pour animaux, bien prisonniers,
Une vieille oie et un jeune coq, qui dans la basse-cour,
En firent vite le tour.
Un jour, l’homme s’en alla faire la fête,
La volaille voulut alors prendre la poudre d’escampette ;
Dès les premiers pas, elle arrêta net,
Car d’un renard, elle en vit la tête ;
Sur ses deux pattes de derrière, il se mit,
Et leur parla ainsi :
Vous me paraissez bien deux malins,
Mais dans ma bouche, vous ne ferez qu’un,
Votre plumage vous est utile,
Mais il me sera bien futile,
Votre chair paraît tendre,
Et ma faim se fait entendre,
Si la vie vous paraît stupide,
Venez me voir, la mort sera rapide.
A ces mots, le jeune coq, fier de lui, répliqua :
Renard, tu me parais rusé, là-bas,
Mais moi, coq, je suis plus intelligent que toi,
Si tu t’approchais,
Sur la colline, je m’enfuirais,
Au-delà de l’hêtre.
Prend donc l’oie, elle est bien trop bête,
Celle-ci sembla ravie,
A croire, qu’elle n’avait rien compris.
Dans la basse-cour, le renard entra,
Et se demanda, en premier, qui il mangera,
La vieille oie resta sur place,
Et le jeune coq montra toute son audace,
Sur un tas de bois, il alla coqueter,
De ses comparses, il voulut se moquer.
Mais du bord, il ne fit que tomber,
Le renard bondit sur lui,
Que d’une seule bouchée, il n’en fit ;
L’oie ne se fit pas attendre,
Elle cacarda qu’il aille se faire pendre,
En liberté, elle alla faire sa vie,
Et jamais plus, elle n’eut d’ennuis.
Moralité :
Ce n’est suffisant que d’avoir de l’intelligence,
Il faut savoir l’utiliser avec bon sens.
« Ce n’est pas assez d’avoir l’esprit bon,
mais le principal est de l’appliquer bien »
René Descartes.